Le Conseil de la culture, récemment renforcé avec de nouveaux membres dotés d'un grand talent de gestion et d'un sens aigu des affaires, doit accepter la défaite. En effet, le ministre de la culture Jet Bussermaker ne tient pas compte d'un pilier essentiel du dernier avis du conseil. Dans une lettre adressée à la chambre, elle révèle qu'elle cherche des alternatives à la proposition du Conseil de 'Protéger les objets d'importance nationale en désignant une "collection de base".. Au lieu de cela, Bussemaker a dit : "Mon principe directeur est que les coûts de mise en œuvre doivent rester proportionnels. Je cherche donc à savoir s'il existe une méthode plus efficace et plus efficiente pour protéger ces objets."
S'agit-il uniquement d'une question d'argent ou existe-t-il également un argument de fond ? Nous ne le savons pas, mais il est certain que l'idée d'une "collection de base" n'a pas été très bien accueillie par le secteur du patrimoine. Après tout, cela signifiait que les collections qui se trouvent aujourd'hui dans des mains privées pourraient être nationalisées parce que le Conseil avait décidé qu'elles étaient "d'intérêt national".
Le commentateur du CNRC Marc Chavannes a reçu beaucoup d'éloges lorsqu'il a suggéré une telle chose dans son article en février, et seulement un mois plus tard dans Une vraie publicité apporté. Nous citons : "Le Conseil de la culture mérite ici un grand prix soviétique. Lis la suite. De l'institution à l'ordre". Les musées jusqu'ici indépendants - dont la plupart n'appartiennent pas à l'État - doivent être intégrés dans un "bestel" national, une sorte d'institution semi-ouverte pour administrateurs d'art intransigeants. La propre tradition, la propre pensée, les propres plans produisent trop peu de "retour de collection" pour la fictive "Collectie Nederland".
Le reste de l'avis est intéressant, selon le ministre, mais sans plus. C'est ainsi qu'il apparaît. En fait, elle dit : j'explore le fait de et la loi, mais si je vais la mettre en place selon l'avis du Conseil, j'en doute : "Actuellement, il existe différentes lois et réglementations pour la conservation du patrimoine, l'archéologie, les archives et les collections des musées. Une nouvelle loi sur le patrimoine pourrait, comme le recommande le Conseil, relier ces domaines entre eux. J'étudie les mérites qu'une telle loi pourrait avoir pour notre patrimoine culturel."
Les ministres et les secrétaires d'État pondent le plus souvent ignorent les avis de leurs conseils consultatifs. Parfois, ce n'est pas une bonne chose et le conseil en question fait... Tellement en colère qu'il a démissionné. Parfois, nous devrions peut-être nous contenter d'une ministre qui suit sa propre voie.
Ton point de vue nous intéresse.
L'avis du conseil.
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