J'ai donc passé cinq minutes dans le studio de l'auteur-compositeur-interprète Patrick Watson. Il a joué un peu. Il a mis son téléphone dans le cendrier. Il a dit quelque chose à son labrador. Et j'ai pu regarder autour de moi tranquillement pendant qu'il jouait. Derrière moi, devant moi. En bas et en haut. Rien de tel que de s'asseoir dans la maison d'un artiste pendant qu'il joue. Et je ne l'ai pas dérangé.
La place Tiananmen, Berlin pendant la chute du mur, en mars. Également tous les endroits où j'aurais aimé jeter un coup d'œil moi-même. Tu peux...
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