Nous savons maintenant pourquoi Amal a fait tout un plat de cette montre #hf10

 Worldjournalists.co.ukAmal Maher, un site de productions journalistiques par et sur la société multiculturelle, était également présent lors du concert d'ouverture et a compris les nombreux cris du public. À un moment donné, par exemple, Amal Maher s'est excusée en montrant sa montre, par ailleurs très chic. Pendant un instant, nous avons cru qu'il s'agissait de cela, mais il s'agissait du temps qu'elle voulait consacrer à la chanson en cours. Il s'est avéré qu'elle allait l'abréger :

Avec Al Atlal, une chanson qui pouvait parfois prendre des heures dans la performance live de Kalthoum à cause des improvisations de la diva, lorsque l'orchestre, par ailleurs excellent, a vraiment pris son élan à un moment donné, elle s'est retournée vers le chef d'orchestre et a pointé sa montre en s'interrogeant et en s'excusant : "Je veux, mais je ne peux pas". C'était une interruption rationnelle dans une chanson dont les rythmes répétitifs et les fragments de texte peuvent vous plonger dans l'extase.

Par ailleurs, World Journalists est modérément positif à propos du concert :

Les longues introductions musicales qui accompagnent souvent les chansons de Kalthoum créent une tension qui se décharge sur un nouveau rythme et sur la voix puissante de Kalthoum. Cette longue construction a manqué pour plusieurs raisons, comme la durée limitée d'une représentation théâtrale aux Pays-Bas et, bien sûr, parce qu'il n'est pas courant aux Pays-Bas d'improviser pendant deux heures sur une seule chanson. En outre, la voix de Maher n'est pas aussi puissante que celle de Kalthoum. Ce n'est pas si grave s'il y a une voix propre en contrepartie, mais comme nous l'avons déjà dit, elle faisait parfois défaut. Il n'en reste pas moins que la jeune Maher a bien interprété les chansons de Kalthoum, mais elle n'a pas (encore) pu nous enlever l'envie d'une nouvelle Oum Kalthoum.

D'autres votes de la presse auront lieu demain.