Cela permet au GGD de Liverpool d'économiser des millions sur la distribution d'antidépresseurs. Et cela ne leur coûte qu'une tonne et demie. Ils dépensent autant en engageant des musiciens de l'orchestre philharmonique royal de Liverpool pour des ateliers dans des cliniques de toxicomanie. Pas de prêche idéaliste, donc, comme dans les innombrables colonnes et réactions à la coupure culturelle de Halbes, mais de la pécune dure et des effets prouvés. En Angleterre, où l'on réduit l'art presque autant qu'aux Pays-Bas, mais où l'on a l'air beaucoup plus soigné et respectueux...
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