Les personnes qui demandent de la clarté réclament souvent des "noms et des (back) numbers", mais dans la musique classique, cette agitation autour des noms et des chiffres est précisément la raison pour laquelle personne ne comprend plus rien. Ainsi, selon Nancy Wiltink, ancienne spécialiste du marketing et aujourd'hui conteuse d'histoires, il ne s'agit pas seulement de ton histoire, mais aussi de savoir si cette histoire est... applicables.
Avec l'agence internet et marketing wecross lors de la conférence sur les arts du spectacle (fin mai 2012 à Rotterdam), nous avons interviewé quelques hotshots sur leur histoire. Et Nancy a pu tirer parti de cette expérience. Car ceux qui racontent des histoires savent aussi comment "encadrer" une discussion. Tu introduis ensuite un terme ("subvention slurpers") et l'autre partie, en attaquant ce terme, ne fait que le renforcer. Il faut donc un "contre-récit".
Et elle sait très bien comment faire comprendre que cette histoire a besoin de "sang". Plus que quelques infographies bien léchées.
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