C'était une grande nouvelle. Un orchestre s'empare des instruments d'un autre. Seulement, cela ne colle pas. La lettre du chef d'orchestre Jan Willem de Vriend parue dans le Volkskrant de jeudi dernier ne semble pas plus juste.
Omdat wij de orkestenruzie tussen het Nederlands Philharmonisch en het Nederlands Symfonisch al een tijdje nauwgezet volgen, wisten wij al dat De Vriend met zijn uitspraak, dat het juridisch gezien nu 2-2 tussen beide orkesten stond, niet de waarheid sprak. Het staat...
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