L'orchestre symphonique est pratiquement en faillite. Les chiffres de 2014 le montrent. Il est donc totalement absurde que la ministre responsable Jet Bussemaker, dans sa réponses aux questions du député Jacques Monasch il y a moins d'un mois a rapporté que l'orchestre était bien dans sa propre norme de revenus de 21,5%. Non seulement elle a déjà utilisé des chiffres erronés dans ses réponses, mais il est désormais clair que 2013 était déjà une année catastrophique, mais que ce n'est qu'ensuite qu'elle s'est vraiment dirigée vers l'abîme.
La comparaison des états financiers de 2013 avec ceux de 2014 fournit ces chiffres éclairants :
- Recettes de parrainage -75%
- Revenus de l'audience -25%
- Trésorerie et équivalents de trésorerie -50%
- Équité -60%
- Revenus propres -35%
Le ratio recettes propres/subventions publiques totales est maintenant tombé à 18,4%. Ce chiffre est inférieur à la limite inférieure absolue fixée par le ministère.
Fait inquiétant, le déficit d'exploitation d'un peu plus de deux tonnes (à couvrir par les fonds propres) dépasse maintenant la tonne et demie laissée par ces réserves.
Il n'est pas étonnant que l'orchestre symphonique de la HET se produise dès maintenant supprime et essayer de s'installer dans le quartier avec la poignée d'employés permanents qui restent. Qui sait, peut-être que cela rapportera à nouveau de l'argent, mais alors l'année prochaine, l'orchestre ne remplira plus la mission essentielle que le ministère lui a confiée pour recevoir la moindre subvention. Pendant ce temps, les administrateurs responsables au niveau de la municipalité, de l'État et de la province font l'éloge de la capacité d'adaptation de l'orchestre.
Par exemple, qu'est-il advenu des cinq millions que HET Symfonieorkest a reçus de la province d'Overijssel. L'orchestre a obtenu cela afin d'obtenir chaque année plus d'argent du marché. En calculant les projections vendues à la province par rapport aux 62 100 euros de revenus de sponsoring effectivement rapportés, HET Symfonieorkest est en retard de 97% après trois ans d'autonomie plan d'affaires.
Reste à savoir ce qu'il est advenu des millions provinciaux. Nous y reviendrons demain.