Un prologue, deux dialogues et un long interlude. Le tout clairement lié. Dans une interprétation de Romeo Castellucci - on ne peut pas faire plus fou.
Le dramaturge italien Castellucci préfère faire du théâtre qui ne soit pas facile à comprendre, voire incompréhensible. Ce faisant, il ne recule pas devant les effets de choc. Visuellement écrasant, mais une ligne claire est souvent difficile à discerner. Cela promet donc quelque chose lorsqu'il se lance dans Democracy in America. Surtout avec l'actuali...
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