La prison Wolvenplein d'Utrecht est en quelque sorte vide. Tous ceux qui n'ont pas de condamnation à leur actif devraient s'y rendre pour s'amuser. Je l'ai fait moi-même il y a deux ans dans le cadre d'un projet artistique sur la société de surveillance. Lorsque j'y suis retournée le mardi 17 octobre 2017 pour Les monologues de la prison, l'impression était encore forte. Les architectes de l'époque savaient bien comment garder les gens petits, la désorientation totale et tout espoir d'évasion incha...
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