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La liste de nos lecteurs. Ce que nous devrions tous ne jamais oublier de 2017.

Bon, nous ne sommes pas très portés sur le battage médiatique et les traditions ici, mais tout de même. Les jours sombres autour de Noël sont très sombres cette année, alors pourquoi pas quelque chose avec des listes. Cette année, pas de liste de tops de la rédaction, mais des entrées aléatoires de lecteurs aléatoires, dans un ordre aléatoire, quoique légèrement alphabétique.

Mot d'ordre de la question des lecteurs était : quelles sont les choses de 2017 qu'il ne faut surtout pas oublier ? Ce qui est arrivé était parfois surprenant, et parfois effectivement : "oui !". Nous laissons l'anonymat aux auteurs des soumissions. En revanche, nous mettons les choses à ne pas oublier en lien avec des sites Internet et des auteurs qui - dans les premiers résultats de recherche de Google - ont raconté quelque chose d'intéressant à leur sujet. Parce qu'en racontant cette histoire, ils s'assurent qu'elle n'est pas oubliée, et en créant un lien vers cette histoire, nous nous assurons que le trafic continue d'y affluer.

Vous trouverez ci-dessous la liste des lecteurs (les chiffres ne signifient rien. Certains articles ont reçu plus de votes, d'autres sont uniques, cela ne les rend pas moins mémorables).

Alice Neel, Gemeentemuseum La Haye

NRC : 'L'exposition dans son ensemble peut parfois s'essouffler (soixante-dix œuvres, c'est beaucoup trop pour maintenir le niveau le plus élevé), mais le Gemeentemuseum présente actuellement certains des portraits les plus crus et les plus poignants créés au vingtième siècle. Neel a ses honneurs - et elle les a mérités.

Festival All in the Holland

Si nous laissons Théodore (Adorno) seul....OT R'dam, Van Ostade théâtre A'dam

Photo : Pepijn Lutgerink

Mirjam Koen interviewée par Culture Press : ''Ce qui est fou, c'est que Theodor Adorno fait de plus en plus parler de lui ces derniers temps. Surtout avec la montée du populisme et, bien sûr, Donald Trump. Une nouvelle biographie d'Adorno a également été publiée récemment, et les questions qu'il a posées sont certainement à nouveau d'actualité : quelle est l'influence du capitalisme sur nous ? Adorno a beaucoup écrit à ce sujet.'

Une soirée avec Peter Brook (interview) au Stadschouwburg à Amsterdam,

Photo : Wijbrand Schaap

Tirade : 'Les visiteurs du théâtre de la ville ont fait hier l'expérience de ce qu'une vie entière de contes, de films et de théâtre peut faire à une personne. J'ai entendu six des plus belles réponses qu'il m'ait été donné d'entendre successivement.'

Entretien avec l'artiste peintre Anne van As à la Gallerie With Tjalling, Groningen

Site web de photos anne van as

Tjalling : 'Anne van As est inspirée par les pays scandinaves, les montagnes et la faune des régions froides et tempérées. Mais ses peintures et ses dessins ne sont pas seulement un enregistrement de la réalité visible. Dans un style clair et figuratif, elle présente des sujets accessibles tels qu'un ours, un lapin ou même une montagne abstraite. Ce sont tous des sujets qui évoquent un certain attachement ou une certaine reconnaissance. Cependant, un sentiment de désorientation s'insinue de temps en temps. (Traduit avec www.DeepL.com/Translator)

Bill Frisell, Bimhuis Amsterdam

Volkskrant : ''Bill Frisell est peut-être le guitariste de jazz le plus estimé de ces dernières décennies, grâce au sourire toujours présent dans sa musique mélancolique. Frisell n'est pas très porté sur le jazz solo interminable, mais se concentre sur un jeu d'ensemble intense autour de beaux thèmes'

Borgen in Carre

NRC Handelsblad *****

Boss Hog, Paradiso Amsterdam

Le groupe joue principalement de nouveaux morceaux. Spencer exprime son amour dans une fantastique danse d'accouplement sur la chanson "I Idolise You". Il se met à genoux devant sa femme. Martinez ne semble pas vraiment apprécier cet acte d'amour. Elle quitte la scène avant la fin de la chanson. La diva a peut-être du mal avec la salle qui n'est qu'à moitié pleine.

Chasse Patate par Studio Orca (vu sur Boulevard)

Photo de l'étape Chasse Patate, photo : Philippe Deprez

Cultureel Persbureau : "Comment ces Belges parviennent-ils encore et toujours à faire ce que les créateurs de théâtre néerlandais ne parviennent que rarement, ou plutôt jamais, à faire ? Il y a un peu moins de dix ans, ils nous ont fait sangloter avec la représentation du café-chant La rupture du cercle briséqui a ensuite été nominé aux Oscars en tant que film. Je pense qu'aujourd'hui encore, les cinéastes réclament les droits de Chasse Patate.

Le documentaire Sur une corde raide sur le metteur en scène de cinéma et de théâtre Peter Brook,

New York Times : 'Les productions de Shakespeare réalisées par Peter Brook dans les années 1950 et 1960 sont légendaires. Son travail ultérieur - "Marat/Sade" et "Le Mahabharata" en particulier - occupe une place centrale dans l'histoire du théâtre moderne et représente un défi permanent au réalisme psychologique et au didactisme social qui ont dominé la forme d'art en Grande-Bretagne et en Amérique. Il s'est toujours intéressé aux racines rituelles et aux résonances mythiques du théâtre, et l'idée du jeu qu'il exprime dans "The Tightrope" a une teneur ancienne, voire mystique. Il parle de l'accès à un cerveau collectif, de la compréhension de l'essence du temps et de la façon dont le théâtre peut offrir une expérience accrue de la vie.' Traduit avec www.DeepL.com/Translator

La nuit de la poésie

Wijbrand Schaap : "Les poètes étaient vraiment les vedettes cette fois-ci. Sans oublier notre éternel lauréat qui n'est pas noble. Cees Nooteboom. En effet, sa performance peu reluisante a rendu particulièrement perceptible la lisibilité de ses poèmes. Sur une scène, ils tombent en quelque sorte dans l'oubli. Il en va tout autrement de l'œuvre de Astrid Lampe. Cette poétesse d'Utrecht écrit depuis des années des œuvres totalement incompréhensibles et abstraites, qui font invariablement merveille sur scène. Elle a une formation d'actrice, ce qui ne peut qu'aider. Au moins, lors de sa représentation, le public s'est détendu, les gens riaient et applaudissaient entre les deux.

La découverte (grâce au patin tordu de Job Gosschalk) que Kemna Casting a une position de monopole indésirable.

Volkskrant : "Il y a des concurrents, mais ils sont loin d'être aussi importants. Jeannette Snik a dirigé une agence de casting pendant des années, mais elle a eu de plus en plus de mal à rivaliser avec Kemna. Ils ont toujours été très doués pour tirer tout vers eux : les feuilletons, le casting vocal, et plus tard aussi la production et la réalisation. C'est un cercle vicieux, car plus vous tirez vers vous, plus les gens doivent tirer vers vous". Selon Snik, l'entreprise distincte Kemna Training en est un exemple. Ils l'ont fait intelligemment. Les acteurs se sentent obligés de participer à ces ateliers, en se disant : je serai peut-être choisi par eux la prochaine fois".

La première de The Nation au Holland Festival

Cultural Press Agency : 'C'est Romana Peace qui ouvre la voie au reste de cette aventure hyperactuelle. Elle vous intrigue, vous fascine et vous séduit à chaque épisode. Donc : si tu rates les premiers épisodes maintenant, ce n'est pas une raison pour ne pas regarder la suite en octobre. D'ici là, l'ensemble sera mené par une actrice qui aura inévitablement été récompensée d'ici là. Elle mérite la plus haute récompense que le théâtre néerlandais décerne à ses actrices : le Theo d'Or. Elle a été nommée grâce à son rôle dans Race. Cette performance est terminée. Maintenant, va voir comment tu joues un tel prix. Tu ne seras pas déçue.

L'état du théâtre par Lot Vekemans

Cultural Press Agency : "Elle a poursuivi en disant qu'à son avis, le monde du théâtre s'était de plus en plus enfermé dans sa coquille ces dernières années. Et ce n'est pas tout : il est aussi devenu égocentrique, préoccupé uniquement par sa survie, par la justification de l'existence du théâtre, par la défense de son existence et par la recherche d'argent.

L'effacement assez unique (et repris par Christopher Plummer) du rôle de Kevin Spacey dans Tout l'argent du monde.

NRC : Après la chute de Spacey, le film semblait condamné. Prenons une scène où, dans le rôle de Jean Paul Getty, il marche main dans la main avec son petit-fils de 10 ans dans les ruines de la villa de l'empereur Hadrien : Getty y dit qu'il est la réincarnation de cet empereur et mécène homosexuel. Une chose pareille a désormais une connotation plutôt trouble.

Le Théo d'Or pour Romana Vrede

Semaine du design néerlandais, Eindhoven

ED : 'En 2016, la présentation Manifestations a été élue la meilleure de cette année-là. À juste titre. Cette édition aussi - sur pas moins de deux étages de Het Veem à Strijp S - semble prometteuse. L'exposition sur 4 500 mètres carrés donne un bel aperçu de la façon dont les designers et les artistes voient notre avenir. Tout y passe, des rencontres olfactives au médecin de famille électronique. Ou (en photo) un robot qui mange des chenilles processionnaires du chêne et convertit cette matière via des biocellules en une substance pour se nourrir. Un produit de Jip van Leeuwenstein. Ce qui est bien aussi : plusieurs installations sont interactives'

Festival de la fibre, Amsterdam

NRC : 'Le Fiber Festival fait partie d'un créneau en pleine expansion : la musique et l'art d'avant-garde liés à la technologie et à la science. On y apprend quelque chose. Mais toutes les expériences ne sont pas convaincantes.'

Paterson, le film de Jim Jarmusch

Jaap Mees : 'Jim Jarmusch, le réalisateur culte de films aussi délicieux que Stranger than Paradise, Down by Law et Night on Earth, est en pleine forme avec Paterson. Avec sa touche d'humanité typique, ses observations subtiles, son humour décalé, il raconte l'histoire d'un sympathique chauffeur de bus flegmatique, excellemment interprété par Adam Driver. Un nom bien choisi. Il mène une vie tranquille avec sa petite amie iranienne Laura (Golshifteh Farahani), qui est super mignonne.'

Création d'une bourse Anne Faber pour les chefs d'entreprise du secteur du théâtre et de la danse.

Anne Faber (source : DUIC)

Het Huis Utrecht : 'Anne aspirait à une carrière de chef d'entreprise dans le monde de l'art. À Het Huis Utrecht, elle a fait des pas dans cette direction, en apportant un soutien commercial à de jeunes créateurs de théâtre, parallèlement à son travail de chef de bureau. Tout indique qu'elle va continuer à se développer dans ce domaine.

Requiem for The Warm Shop joue The Warm Shop, avec le décor qui disparaît dans la déchiqueteuse.

Photo : Kurt van der Elst

Requiem pour 'De Warme Winkel joue De Warme Winkel' est un adieu festif et vocal à De Warme Winkel joue De Warme Winkel, qui ne peut plus être rediffusé pour des raisons de droits d'auteur. Spécialement pour le festival de théâtre néerlandais, De Warme Winkel crée un programme d'adieu unique et définitif à son opus magnum, qui ne peut être vu qu'au Stadsschouwburg d'Amsterdam le jeudi 7 septembre.

Festival de Hollande : Setan Jawa

Setan Jawa, Garin Nugroho.
Setan Jawa, réalisé par Garin Nugroho.

Fransien van der Putt : 'Setan Jawa est un film surréaliste sur l'injustice sociale et le désir. Nugroho utilise le parallélisme entre la réalité sociale et les relations magiques et mystiques, comme c'est souvent le cas dans la culture javanaise, pour établir des liens intrigants et une critique sociale indirecte. D'ailleurs, une grande partie de ces éléments m'a échappé pendant la projection. Ce n'est que lorsque j'ai été rattrapé par des collègues mieux informés que les choses ont commencé à se mettre en place.

IDFA : conférence de Jonathan Harris

Amsterdam, 18-11-2017, festival international du film documentaire IDFA. Jonathan Harris dans son église à l'extérieur de Brakke Grond. Photo Nichon Glerum

Jaïr Tchong : 'La critique sous-jacente qui a fait de l'histoire de Harris une expérience carrément palpitante - Tuschinski était suspendu à chacun de ses mots - s'inscrit dans la lignée des critiques de plus en plus virulentes à l'égard d'entreprises telles que Google et Facebook. À l'aide d'une analogie éclairante ("l'attention est une ressource naturelle, et limitée"), Harris signale une menace majeure. Si nous ne régulons pas la toute-puissance des "cinq grands" (Alphabet/Google, Amazon, Apple, Facebook et Microsoft), l'humanité est condamnée. Avec un ensemble de données et un algorithme, tu peux renverser n'importe quelle économie de partage. Appelle ça 'disruption' et certains économistes t'applaudiront pour ça.'

Le Guess Who, Utrecht

Savages - Photo : Melanie Marsman

Sven Schlijper Karssenberg : "La LBV est un festival qui crée un sentiment d'appartenance. Qui transcende les nationalités. Ou le sexe et l'âge. Et aussi : sans murs entre l'artiste et le public. La célébration du tarab, de la découverte et de l'aventure est centrale. La bombe ou la surpopulation n'est donc pas un problème dont il faut se plaindre à LGW. Si personne ne peut tenir plus dans une salle, il y a plus qu'assez à vivre dans le riche programme. Le festival le fait d'ailleurs délibérément savoir ; il suffit de partir en voyage dans le monde de LGW et de sortir des sentiers battus. Il y a toujours une auberge avec un accueil chaleureux.'

Max, Misha et l'offensive du Têt par John Harstadt Découvert lors de l'ILFU de The Literature House.

 

VPRO Guide : 'Le dosage ne semble pas être le point fort de Harstad, étant donné la taille monstrueuse de son nouveau livre. Certaines phrases durent une page et demie et il déborde de digressions qui ne sont parfois rien d'autre qu'une énumération sans fin de titres d'albums. Mais juste au moment où tu te dis : dépêche-toi Johan, il s'ensuit quelque chose d'incomparablement merveilleux. Prends la scène où le père de Max lui propose de sortir avec son ami Mordecai pour une journée. 'Apporter le matériel de natation et les raquettes de badminton, rentrer à la tombée de la nuit, fatigués et pleins d'impressions.' Max et Mordecai ont des projets très différents (quelque chose à voir avec l'alcool et les filles) et déclinent poliment l'offre. 'J'ai eu un peu pitié de lui sur le moment, il avait déjà sorti une raquette et une navette et quand nous avons balayé sa proposition de la table, il l'a à moitié cachée derrière son dos, comme s'il nettoyait de vieilles affaires.'

Clair de lune

Leo Bankersen : Peut-être qu'après Moonlight, il y aura plus de gens dans l'industrie cinématographique américaine qui se diront : 'Hé, ça ne doit pas toujours suivre des formules précuites'. Rêvons de nouvelles opportunités pour les cinéastes américains avec leur propre voix'.

Sur le corps et l'âme

Leo Bankersen : 'Le film On Body and Soul, dépeint avec sécheresse et précision, mais aussi avec enchantement, est mon film de compétition préféré jusqu'à présent en raison de ses rêves de cerf. Dans cette saisissante première réalisation, la Hongroise Ildikó Enyedi raconte l'histoire d'une jeune femme autiste employée comme contrôleuse de qualité dans un abattoir. Lorsqu'elle découvre qu'elle partage ses rêves avec un collègue tout aussi socialement maladroit, c'est le début d'un timide rapprochement. En les montrant dans leurs scènes de rêve sous une apparence animale, Enyedi parvient à te mettre en contact avec leur monde intérieur émotionnel d'une manière très inattendue.'

Raymond Pettibon, musée Bonnefanten

TPO : "Ennuyeux ? Eh bien, dans A Pen Of All Work, comme s'appelle l'exposition, la revigoration du politiquement et culturellement incorrect règne en maître. Où peut-on trouver cela ailleurs dans un musée ? Malgré la quantité, les œuvres de Pettibon sont également tenues par une sorte de satire plaisante, de sarcasme et d'humour noir. Un petit artiste fait naturellement référence à l'actualité. Tu peux parier qu'il y a quelques caricatures accrochées à propos de Donald Trump'.

The Flaming Lipps, Utrecht

OOR : 'Avec le nouveau The Castle, les Flaming Lips montrent qu'ils savent toujours comment combiner le rock psychédélique et le son typique des années 80 pour en faire un ensemble accrocheur. Le leader - qui traverse la scène en dansant et en chantant - a enfin réussi à détendre la salle. Comparé à Wayne Coyne, le reste du groupe se tient tranquille et se concentre surtout sur les instruments. Ce n'est pas du tout une mauvaise chose, car cela permet d'apprécier non seulement visuellement, mais aussi musicalement.'

Le plus beau jour de la vie d'Olli Maki, film finlandais

Sandra van BIjsterveld : 'La représentation du gentil Olli et de son engouement pour le dur monde de la boxe donne lieu à des situations comiques, ce qui permet à ce film de ne pas tomber dans la lourdeur. En même temps, le film pose une question sérieuse à laquelle nous sommes tous confrontés de temps en temps : qu'est-ce qui est le plus important, le succès (extérieur) et répondre aux attentes, ou rester soi-même et suivre son cœur ?

Théâtre : Nouvelle famille

Journal du théâtre : 'Vogel pratique une façon de raconter des histoires avec intégrité et fascination : elle emmène le public à travers tous les doutes qu'elle a quand il s'agit de la nécessité d'un travail sur les réfugiés. Elle révèle candidement qu'elle ne sait presque rien de la question des réfugiés syriens, d'un dictateur comme Assad, du Moyen-Orient. 'Oui, ça doit être quelque chose à propos de 'sable et de chameaux'.'

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1 commentaire pour “Het lijstje van onze lezers. Wat we allemaal nooit mogen vergeten van 2017.”

  1. Ce qu'il ne faut pas oublier de 2017 : DNO - Rigoletto
    Mais aussi : 10 mil ajoutés, puis plus rien pendant un moment, puis 80, très bien !

Les commentaires sont fermés.

Wijbrand Schaap

Journaliste culturel depuis 1996. A travaillé comme critique de théâtre, chroniqueur et reporter pour Algemeen Dagblad, Utrechts Nieuwsblad, Rotterdams Dagblad, Parool et des journaux régionaux par l'intermédiaire d'Associated Press Services. Interviews pour TheaterMaker, Theatererkrant Magazine, Ons Erfdeel, Boekman. Auteur de podcasts, il aime expérimenter les nouveaux médias. Culture Press est l'enfant que j'ai mis au monde en 2009. Partenaire de vie de Suzanne Brink Colocataire d'Edje, Fonzie et Rufus. Cherche et trouve-moi sur Mastodon.Voir les messages de l'auteur

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