Que George Benjamin soit cette année le compositeur de la cour du Holland Festival est tout à fait logique. Et je dis cela en tant que non-expert. Après tout : la façon dont on écrit et dont on parle souvent de la musique classique contemporaine effraie les profanes comme moi. Aurais-je jamais assez de connaissances pour apprécier ces sons gourmands ? Samedi soir, j'ai découvert pour la première fois en direct une œuvre du compositeur britannique et j'ai été époustouflé. Non pas parce que j'avais soudainement appris beaucoup de choses, mais parce que la musique...
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