Ce qui a été dit exactement reste inconnu pour l'instant. Ce qui est sûr, c'est qu'il y a eu de nombreuses discussions. Quoi qu'il en soit, le résultat est clair : la Philharmonie Zuidnederland (qui ne veut pas être écrite avec des majuscules) reprend ses activités dans le cadre des projets d'éducation artistique dans le Brabant-Septentrional. Le fanfare et musique de bouilloireL'orchestre de fusion du Limbourg et du Brabant, qui avait annoncé précédemment qu'il abandonnait tous les enfants, ainsi que trois petites institutions de théâtre pour la jeunesse, a été réduit au silence.
Manuel
La formulation de la lettre de la Philharmonie est tout de même amusante : "Pes parties s'accordent à dire que l'arrêt des activités éducatives - bien que compréhensible dans la perspective financière incertaine de l'orchestre pour cette année-là - n'est pas souhaitable à tous égards. Direction et conseil de surveillance de la philharmonie zuidnederland ont donc tendu la main pour sortir de l'impasse dans laquelle ils se trouvent. L'orchestre s'est engagé à proposer sa coopération pour la programmation des projets éducatifs des partenaires au cours de l'année 2020 à partir de février 2019 afin d'assurer sa continuité dans le Brabant-Septentrional.
Les dramaturges voient émerger ici le dialogue de quelqu'un qui doit se rétracter d'une liasse plutôt malodorante, mais qui est heureux de la vendre comme un geste généreux. La réponse de la province du Brabant-Septentrional le montre clairement : 'Nous partageons ton point de vue selon lequel l'arrêt des activités éducatives de la philharmonie zuidnederland n'est pas souhaitable à tous points de vue (accessoirement, nous ne partageons pas ton point de vue selon lequel ce choix est compréhensible).'
Joué
La fin de l'histoire, c'est que le philharmonique a mal parié avec sa revanche spontanée sur la réduction des subventions de la province. On espérait une crise politique en période électorale, L'un d'entre eux a eu une mauvaise réputation en tant qu'enfant tyrannique. Quoi qu'il en soit, Philharmonic n'avait pas les coudées franches en matière de gouvernance. L'objectif principal de la conversation du 31 janvier était donc de faciliter un retrait en perdant le moins possible la face.
Pourtant, l'orchestre espère encore un miracle lors des élections d'État. Lorsque l'orchestre déclare qu'il attend encore au moins 1,5 million d'euros de subventions, il parle de "risque" : 'Nous sommes conscients que cela comporte un certain risque. Après tout, une décision sur le montant de la contribution de ta province ne sera prise que par les États nouvellement constitués. Mais nous soulignons ainsi l'importance que nous attachons à la fonction éducative. de la philharmonie dans la société brabançonne s'attachent'.
Comme l'orchestre espère que dans un prochain collège, le PS n'aura plus rien à voir avec la culture et que l'ADC et GroenLinks, beaucoup mieux disposés, reviendront sur cette coupure, il n'y a pas vraiment de risque. Bien sûr, il reste à voir si l'ordre existant ne sera pas ébranlé par le négateur du climat Baudet. Bien qu'il ait une certaine aversion pour la musique écrite après 1900.
Parfois, les pièces du service civil sont plus amusantes qu'une soirée de théâtre. Mais tout va bien. Bien que la température de la relation offre encore la perspective d'un elfstedentocht sud-néerlandais, un jour ou l'autre cet été.
Voici les lettres. Tout d'abord, celle de l'orchestre :
20190210_lettre_philharmonie_zuidnederlandet ici ceux de la province :
20190212_brief_philharmonie