Bonne nouvelle pour tous ceux qui Quand tu seras grandLe film de fin d'études de Max Baggerman, doublement primé, est passé inaperçu jusqu'à présent. Ce regard documentaire sur les travailleurs, aussi poétique que socialement critique, pourra être revu le 1er août dans le cadre de Nouvelles lumières. Cette soirée est le deuxième volet d'un nouveau rendez-vous bimensuel qui nous fait découvrir de jeunes talents et des expériences documentaires. Cette fois-ci, c'est l'Académie du cinéma qui est à l'honneur.
Il s'agit d'une initiative de Nadica Denic, qui contribue également à l'IDFA en tant que conseillère de programme. Nouvelles lumières est organisé en collaboration avec ce qui s'appelle le cinéma le plus confortable d'Amsterdam : FC Hyena. Les réalisateurs seront présents afin qu'il n'y ait pas seulement un visionnage mais aussi une place pour la discussion.
Sans paroles
Que le par Culture Press déjà abordé précédemment Quand tu seras grand s'adapte parfaitement à Nouvelles lumières est immédiatement évidente après les premières images. Un bébé te sourit. Puis la caméra recule légèrement, révélant les barreaux du parc pour enfants. Immédiatement suivi d'un saut d'image presque philosophique vers un panorama à la photographie serrée de personnes dans le tapis roulant du travail. Le tout sans qu'il soit nécessaire d'utiliser des mots.
Grâce à cela, Max Baggerman a obtenu son diplôme de l'Académie du cinéma cette année et a vu son œuvre récompensée par le prix du documentaire VPRO et le prix du Cercle des journalistes cinématographiques néerlandais. 'Le spectateur se voit offrir un espace de réflexion sur notre façon d'être dans la vie.' Et : "Un documentaire minimaliste avec un maximum d'impact". Lis donc les rapports du jury.
Étudiants en master
Nouvelles lumières ne se contente pas de rechercher de jeunes talents, il montre aussi à quel point les documentaires peuvent être diversifiés. Comment on peut donner une voix aux images de la réalité avec toutes sortes d'approches esthétiques et de techniques narratives différentes. Parfois aussi avec des liens croisés avec d'autres arts.
Les deux autres contributions à la soirée sont le fait d'étudiants qui font le master à l'Académie du cinéma. Quand le dragon est venu de Stefan Pavlovic est un portrait intime d'un couple de la campagne roumaine condamné à s'y retrouver. Vois la façon dont ils vaquent indépendamment à leurs occupations dans un paysage parfait mais indifférent qui fonctionne comme une métaphore poétique mais oppressante. Quand le dragon est venu a déjà attiré beaucoup d'attention de la part des festivals.
Le kiosque comme générateur d'idées
Le troisième composant Familiaroscope n'est pas seulement un film mais aussi une présentation en direct de la créatrice Giorgia Piffaretti. Un souvenir d'enfance d'un kiosque à la frontière italo-suisse est devenu une sorte de générateur d'idées. Ce faisant, elle explore comment les images du quotidien peuvent être le point de départ d'explorations artistiques et de nouvelles interprétations. Comment le film peut créer du sens en évoquant la reconnaissance tout en prenant ses distances. Avec sa présentation en direct, cela donne un aperçu du processus créatif de la réalisation d'un film. Cela semble un peu abstrait, mais c'est précisément pour cela qu'il peut être intéressant d'explorer cela avec Piffaretti. En tout cas, la présentation, dont j'ai eu un aperçu, a l'air assez tangible.
Les autres réalisateurs seront également présents et feront entendre leur voix lors de cette soirée spéciale documentaire.