Ce week-end, le galeriste Henk Logman a découvert avec horreur que des œuvres d'art provenant du prêt d'œuvres d'art d'Amersfoort étaient mises en vente sur un site belge de vente aux enchères. Sur sa page Facebook, il déclare : "Ce qui est extraordinaire dans toute cette affaire, c'est que les artistes qui sont encore en vie aujourd'hui n'en ont pas été informés. J'aurais au moins espéré que cela se produise. Je pense que c'est un manque de respect pour les artistes".
Le tuyau est venu de Bob Kovel, qui n'est pas seulement un artiste, mais qui, en tant que président du comité d'achat des Kunstuitleen dans les années 1990, a également sélectionné lui-même un grand nombre d'œuvres pour Amersfoort. Il a reconnu ses propres œuvres sur le site de vente aux enchères, ainsi que celles d'au moins quatre autres artistes d'Amersfoort : "J'ai également vérifié auprès d'eux, et ils n'ont jamais entendu dire par les Kunstuitleen que leurs œuvres seraient vendues non plus".
Non détruite
Selon Logman, la bibliothèque d'Amersfoort, qui gère la collection, aurait rendu les choses encore plus folles : "Il s'est avéré qu'une œuvre d'art a même été vendue alors que, selon l'artiste concerné, elle aurait dû être détruite parce que l'œuvre avait été endommagée et qu'il avait été dédommagé". Dans ce cas, l'œuvre en question semble être celle de Ron Jagers, artiste bien connu d'Amersfoort. Celui-ci semble avoir été informé : "J'avais deux œuvres prêtées au prêt d'œuvres d'art. Elles n'ont donc pas été achetées par un comité. Les deux œuvres ont été endommagées à la bibliothèque en raison d'un mauvais stockage, à tel point qu'elles peuvent être considérées comme des pertes totales. J'ai reçu une compensation pour cela".
Je pensais que les œuvres seraient détruites. Manifestement, ils ont adopté une approche différente. En effet, à mon insu, les œuvres ont été placées sur le site et apportées à l'homme/la femme/l'homme dans un état endommagé.