"Nous avons bon espoir", me répond-on lorsque je m'adresse à un collègue juste avant le début du festival du film de Berlin. Car curieux de savoir comment le choix de Carlo Chatrian comme nouveau directeur artistique est tombé parmi les critiques allemands. Chatrian, auparavant directeur du principal festival d'art et d'essai de Locarno, ment bien, à ce qu'il paraît. Il faudra voir si cette 70e Berlinale bénéficie de ce nouvel élan et de l'augmentation de la qualité espérée. Il est un peu dommage que le film d'ouverture Mon année Salinger ait été donné à ...
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