Le secteur culturel peut pousser un soupir de soulagement. Outre l'augmentation accablante de la TVA sur tout ce qui est beau et fragile, qui passe de 9 à 21 pour cent, l'infrastructure culturelle de base (ICB) pour les quatre prochaines années s'élève à 1,5 milliard d'euros. sécurisé. Avec les vents impétueux qui viennent du coin du PVV, du VVD et du BBB, on peut appeler cela une aubaine. Il y a même une modeste augmentation à venir, et la chaîne de formation des jeunes à la musique classique obtiendra 1,6 million.
Pour l'instant, il n'y a pas de sauvetage pour les candidats qui ont été jugés bons, mais qui sont tombés en dessous de la ligne de scie. Reste à savoir si le Performing Arts Fund sera encore sauvé par la Chambre en novembre à cet égard. Car les bords de la négociation sont tranchants.
En effet, le ministère de l'éducation, de la culture et des sciences a une énorme tâche d'austérité devant lui. Surtout dans le domaine des sciences, mais aussi dans l'enseignement ordinaire. La radiodiffusion publique devra également réduire ses dépenses de 100 millions à terme.
Réduction de 360 millions d'euros
Et puis il y a ce passage dans le général communiqué de presse du ministère : "En outre, les subventions seront réduites de quelque 360 millions d'euros dans les années à venir en raison du mandat du gouvernement de dépenser moins pour elles. Les détails exacts sont encore en cours d'élaboration et seront clairs en novembre."
Par prudence, nous avons passé un rapide coup de fil au ministère. Le porte-parole du ministre Bruins nous assure qu'il n'inclut pas la subvention BRI : "C'est fixé pour quatre ans, donc rien ne peut être changé à ce sujet." Alors, à quoi devons-nous penser ? "Le ministère a beaucoup de petites tâches de subvention, dans tous les domaines. Il s'agit de subventions fixées par année, comme pour la formation continue ou le recyclage des enseignants. Nous ne savons pas aujourd'hui lesquelles de ces subventions sont menacées, ni si elles incluent les subventions culturelles. En novembre [lorsque le budget du CPAS sera débattu, WS], nous espérons apporter plus de clarté à ce sujet."
La politique culturelle internationale, un fléau ?
Pour l'instant, le secteur culturel semble donc hors jeu. Des réparations temporaires, demandées par le club de 59 scieurs de boisTu peux l'oublier. Il tombe aussi Politique culturelle internationale probablement en lambeaux. En effet, ce programme est financé sur une base annuelle et est donc susceptible de tomber sous le coup de l'objectif de réduction des subventions de 360 millions.
Cela correspondrait à l'image de ce cabinet, qui veut plus que tout empêcher les pays étrangers d'entrer dans le pays.