Les enseignes criardes KEUKENHOF continuent de passer en trombe devant le café Foolish Business, en ce mardi matin très poisseux. Des hordes de touristes se pressent derrière eux, prêts à dépenser de l'argent pour des photos pittoresques et des expériences uniques. Aujourd'hui, c'est le contraire qui m'intéresse, la désolation 19les colonies du siècle dernier en DrentheOn l'appelait alors la "Sibérie hollandaise". Pour moi, la Drenthe est connue comme le "paradis des cyclistes", mais l'auteur de l'article n'est pas le seul. Suzanna Jansen a écrit le best-seller de 2008 Le paradis des pauvres sur, dans laquelle elle a méticuleusement retracé l'histoire de sa famille sur cinq générations.
Elle porte une robe bleue estivale et se rend sur le "lieu du crime" de notre conversation, Veenhuizen, pour passer devant ses "endroits préférés" avec RTV Drenthe. C'est un peu ironique, car elle connaît la Drenthe principalement grâce à ses ancêtres, qui ont vécu et sont morts dans des conditions misérables dans les colonies.
15 juin 2016 se rend à la représentation théâtrale de Veenhuizen Le paradis des pauvres a été présenté pour la première fois dans la cour du musée de Gevangenis, sur "l'une des histoires cachées les plus dramatiques des Pays-Bas".
Jusqu'à 1 million de néerlandais Descend des clients de Veenhuizen [indices]A partir des registres révèle que Ruud Lubbers, Geert Mak et Alexander Pechtold, Thea Beckmann, Anton Pieck et Bert Haanstra, entre autres, sont apparentés à des indigents des colonies pauvres du 19e siècle[/hints].
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