Demoni by Peter Stein : Le chef-d'œuvre mène au chef-d'œuvre #hf10
Après un marathon théâtral de 12 heures, que peut-on dire ? Que c'était bien ? Bien. C'est possible. Que c'était rare ? C'est vrai aussi. Qu'il faille un metteur en scène septuagénaire pour mettre en scène un roman russe avec une telle sérénité, et qu'il faille des acteurs aussi phénoménaux pour tenir le public accroché pendant 11 heures à ce qui n'est pas très...
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.