"Il n'est actuellement pas possible de prédire de manière fiable l'évolution de ces caractéristiques du secteur culturel, et encore moins l'impact des coupes budgétaires sur celles-ci. Les mouvements des choses mentionnées dans la question dépendent de nombreux facteurs. Tout d'abord, il n'y a pas de de nombreuses données sous-jacentes. De plus, l'évolution dépend en partie des décisions (encore inconnues) des gouvernements en matière de subventions, de la mesure dans laquelle les institutions peuvent continuer avec moins de subventions ou parviennent à trouver de nouvelles sources d'argent, et des choix des consommateurs après la crise. "
Au cas où tu penserais que la citation ci-dessus provient d'une énième lettre de protestation d'une organisation artistique tourmentée par des coupes budgétaires, cette fois-ci, tu te trompes. Nous avons trouvé cette citation dans une lettre de l'homme lui-même, Secrétaire d'État à la Culture Halbe Zijlstra. Écoute aussi quelqu'un d'autre.
Cette 'Je n'ai aucune idée des conséquences de mes actes, mais je le fais quand même'- action du secrétaire d'État peut être lue dans une lettre contenant des réponses aux questions de la Chambre basse, notre parlement. Qui pose donc des questions telles que
"Peux-tu indiquer combien d'institutions sont subventionnées par l'État, les provinces ou les municipalités ? Sait-on clairement quel type d'institutions est le plus touché par les coupes budgétaires dans le domaine de la culture ? Si ce n'est pas le cas, es-tu prêt à enquêter sur ce point ? "
Ce à quoi le secrétaire d'État donne une réponse qui - un peu plus succinctement qu'il ne l'écrit lui-même - se lit comme suit :
"Non"
Voilà donc comment on gouverne un pays. À l'Agence de presse culturelle, nous trouvons que cela devient de plus en plus intéressant.
Pour ne pas te mettre en porte-à-faux, en termes d'information, tu trouveras ci-dessous la lettre des stas.
Cliquer pour accéder à beantwoording-kamervragen-over-de-optelsom-van-bezuinigingen-op-cultuur.pdf