Ivo Dimchev, même silencieux, fait une forte impression avec "I-on" lors de la soirée d'ouverture du festival Springdance.
En tant qu'artiste, Ivo Dimchev passe si rapidement et si férocement d'une bravade brutale à un amusement enfantin, d'une impertinence érotique à une solitude tranchante qu'en tant que spectateur, tu ne peux normalement pas t'y retrouver. Une fois que Dimchev a pris son public dans ses griffes, celui-ci ne peut que le suivre dans la perplexité. "I-on" est à nouveau un ensemble d'actions apparemment décousues. Tout se passe autour d'un...
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