My private Himalya" d'Ibrahim Quraishi brille par son absence de drame.
Une petite tente autorisée à jouer pour l'anémone de mer sur la terre ferme, ses quatre pattes guillerettes en l'air. Des acteurs prennent une tasse de thé et jouent aux cartes. Tout cela a l'air très innocent. Ce qui commence comme un merveilleux roman d'images se transforme peu à peu en un rébus d'une longueur considérable. "Mon Himalaya privé" s'apparente à une exposition déambulatoire, avec une machine à vent.....
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