Aller au contenu

Alain Platel met tout le Carré en émoi avec Nicht Schlafen #HF17

Les plofnies sont arrivées de façon totalement inattendue. Le père de famille derrière moi, sorti avec sa femme et son fils adolescent vraisemblablement réticent, a éclaté au bout d'une dizaine de minutes de spectacle. Juste au moment où un silence assourdissant s'était abattu sur le Théâtre Carré, qui affichait complet. Au moins quatre personnes, dont moi-même, ont été profondément choquées. Un éternuement n'avait jamais été aussi fort, mais je ne l'avais jamais non plus vécu aussi calmement que pendant ce silence dans "Nicht Schlafen !" d'Alain Platel. Et je suis assez souvent dans le...

Tu peux maintenant te connecter pour continuer à lire !

Bienvenue dans les archives de Culture Press ! En tant que membre, tu as accès à l'ensemble des plus de 4 000 articles que nous avons publiés depuis notre création en 2009 !

(Les messages récents (datant de moins de trois mois) sont accessibles à tous, grâce à nos membres).

Devenir membreou connecte-toi ci-dessous :

Wijbrand Schaap

Journaliste culturel depuis 1996. A travaillé comme critique de théâtre, chroniqueur et reporter pour Algemeen Dagblad, Utrechts Nieuwsblad, Rotterdams Dagblad, Parool et des journaux régionaux par l'intermédiaire d'Associated Press Services. Interviews pour TheaterMaker, Theatererkrant Magazine, Ons Erfdeel, Boekman. Auteur de podcasts, il aime expérimenter les nouveaux médias. Culture Press est l'enfant que j'ai mis au monde en 2009. Partenaire de vie de Suzanne Brink Colocataire d'Edje, Fonzie et Rufus. Cherche et trouve-moi sur Mastodon.Voir les messages de l'auteur

Les plofnies sont arrivées de façon totalement inattendue. Le père de famille derrière moi, sorti avec sa femme et son fils adolescent vraisemblablement réticent, a éclaté au bout d'une dizaine de minutes de spectacle. Juste au moment où un silence assourdissant s'était abattu sur le Théâtre Carré, qui affichait complet. Au moins quatre personnes, dont moi-même, ont été profondément choquées. Un éternuement n'avait jamais été aussi fort, mais je ne l'avais jamais non plus vécu aussi calmement que pendant ce silence dans "Nicht Schlafen !" d'Alain Platel. Et je suis assez souvent dans le...

Tu peux maintenant te connecter pour continuer à lire !

Bienvenue dans les archives de Culture Press ! En tant que membre, tu as accès à l'ensemble des plus de 4 000 articles que nous avons publiés depuis notre création en 2009 !

(Les messages récents (datant de moins de trois mois) sont accessibles à tous, grâce à nos membres).

Devenir membreou connecte-toi ci-dessous :

fr_FRFrançais