Un régime de filet de sécurité pour les freelances du secteur culturel : cinquante organisations d'intérêt et de l'industrie ont lancé cette semaine un nouvel appel au cabinet et à la Chambre basse pour qu'ils soutiennent financièrement ce groupe important. Cela concerne 70 pour cent des travailleurs dits culturels, c'est-à-dire une majorité qui n'a pas d'emploi permanent. En raison de la fermeture des lieux en soirée qui vient d'être réintroduite, ils voient leurs revenus s'arrêter une fois de plus : musiciens, acteurs, danseurs, mais aussi enlumineurs, commissaires d'exposition et critiques...
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