Google et facebook prennent le rôle des galeries, des éditeurs et des imprésarios.
Pour la plupart des artistes, c'est un idéal. Être représenté par une galerie. Les écrivains visent un contrat avec un éditeur. Les musiciens regardent les étiquettes avec impatience et les metteurs en scène font la queue pour trouver un imprésario. Les créateurs ont une relation d'amour-haine avec ces intermédiaires. En effet, alors que le professionnel créatif moyen serait prêt à épargner un orteil en échange...