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Ragoût de cœur de bœuf et poignée de main. Le capital culturel réinvente le service religieux
Dieu est peut-être mort, mais son église est vivante. Du moins au Danemark. Cela est lié à ce que l'on pourrait appeler le paradoxe danois de la foi : une société fortement sécularisée avec une Folkekirke (=Volkskerk) luthérienne soutenue par une grande majorité de la population [hints]Le sociologue américain Phil Zuckerman a commenté cet aspect du Danemark (et aussi un peu...
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