La Turandot iranienne désarme avec une musique engageante. Mais Puccini reste invaincu
C'est assez audacieux. Prendre un opéra italien classique et lui donner une "version primale". Je connais une petite armée de critiques d'opéra militants qui préféreraient prendre les armes contre cela. Si cela vient d'Iran, vous aurez tôt fait de faire danser les marionnettes. Pour en venir au premier...
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