Des petits yeux et un cœur comblé après la brillante 39e nuit de la poésie.
La nuit de la douce voix d'enfant de Marieke Lucas Rijneveld, bien sûr, mais aussi la nuit de Joke van Leeuwen, de Maria Farantouri et de Mikis Theodorakis, du "poète illusoire" Hans Klok même, et des familles de Nisrine Mbarki et d'Ivo de Wijs. Je vais tenter d'expliquer ce dernier dans un instant, dans mon style peu poétique, pardonne-moi. Sur mon...