Il est impossible de rémunérer équitablement les travailleurs indépendants dans le secteur de la culture sans une étude solide sur les heures facturables.
Un taux de départ de 27 euros de l'heure sans recherche appropriée sur les heures facturables dans le secteur de l'audiovisuel et du cinéma n'est pas une rémunération équitable. Il conduit à un revenu annuel net inférieur au salaire minimum, n'est pas durable, n'est pas juste et n'est certainement pas à l'épreuve du temps.
Le secteur créatif a droit à un système d'honoraires basé sur la réalité du travail indépendant : des missions variables, du temps non rémunéré et peu de sécurité économique.
Tant que nous ne fixerons pas une norme pour des calculs réalistes aux Pays-Bas, la rémunération équitable en théorie peut être injuste en pratique. Des mesures sérieuses sont nécessaires pour un secteur créatif durable : une recherche indépendante sur les heures facturables, une application claire et une implication réelle des free-lances dans l'élaboration des politiques.
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